Archives de l’auteur : Michel Schauving

La corde invisible

Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte.

La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l’atteindre.
Le premier soir, il s’arrête pour bivouaquer non loin de la maison d’un vieil hermite.
Au moment d’attacher son dernier âne, il s’aperçoit qu’il lui manque une corde.

“Si je n’attache pas mon âne se dit-il demain, il se sera sauvé dans la montagne !…”

Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction de la maison du vieil hermite.
Arrivé, il demande au vieil homme s’il n’aurait pas une corde à  lui donner.

Le vieillard avait depuis longtemps fait voeux de pauvreté et n’avait pas la moindre corde, cependant, il s’adressa au paysan et lui dit:
“Retourne à  ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n’oublie pas de feindre de l’attacher à  un arbre.”

Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme.
Le lendemain dès qu’il fût réveillé, le premier regard du paysan fît pour son âne.
Il était toujours là !
Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là , il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n’y fit.
L’âne refusait de bouger.

Désespéré, il retourne voir l’Hermite et lui raconte sa mésaventure.
“As-tu pensé à  enlever la corde?” lui demanda-t-il.
“Mais il n’y a pas de corde!” répondit le paysan.
“Pour toi oui mais pour l’âne…”
Le paysan retourne au campement et d’un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde.

L’âne le suit sans aucune résistance. .

Quand nos croyances nous empêchent d’avancer, observons ce qui est et non ce que nous croyons être pour nous libérer de liens issus de nos propres limitations.

Chacun de nous avons le pouvoir sur nos perceptions
quand nous choisissons de voir au lieu de croire voir.

 

L’âne et le puits

Un jour, l’âne d’un fermier tombe dans un puits.

Pris au piège, l’animal brayait pendant des heures et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il considéra que l’animal était vieux et que le puits asséché devait disparaître.
Et de toute façon, il n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.

Il invita tous ses voisins pour venir l’aider.
Ils saisirent tous une pelle et commencèrent à boucher le puits.
Au début, l’âne réalisa ce qui se produisait et se mit à crier encore plus fort.
Puis au bout d’un moment, à la surprise de chacun, il se tut.
Quelques pelletées plus tard, le fermier regarda au fond du puits et fut très étonné de ce qu’il vit.
A chaque pelletée de terre qui tombait sur lui l’âne ruait pour enlever la terre de son dos, la piétinait sous ses sabots puis montait dessus.
Bientôt, tous furent ébahis lorsque l’âne bondit du puits et se mit à trotter paisiblement !

Dans les difficultés les plus grandes, un simple déclic peut suffire pour changer notre perception et nous permettre d’agir sur le cours des choses.

Loin de nous nuire, chaque épreuve nous grandit
quand nous y trouvons la ressource qui s’y cache.

 

Le Trou dans le Trottoir

Métaphore de Portra Nelson

(citée dans Charles L. Whitfield, M.D. “Healing The Child Within”.)

  • Acte 1

Je descends la rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je tombe dedans.
Je suis perdu … je suis désespéré.
Ce n’est pas ma faute.
Il me faut longtemps pour en sortir.

  • Acte 2

Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je fais semblant de ne pas le voir.
Je tombe dedans à  nouveau.
J’ai du mal à  croire que je suis au même endroit.
Mais ce n’est pas ma faute.
Il me faut encore longtemps pour en sortir.

  • Acte 3

Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le vois bien.
J’y retombe quand même … c’est devenu une habitude.
J’ai les yeux ouverts
Je sais où je suis
C’est bien ma faute.
Je ressors immédiatement.

  • Acte 4

Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le contourne.

  • Acte 5

Je descends une autre rue …

 

La vie, c’est beaucoup trop

texte de Charlie Chaplin

J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.
J’ai agi par impulsion, j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables, mais j’ai déçu des gens aussi.

J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger
J’ai ri quand il ne fallait pas
Je me suis fait des amis éternels
J’ai aimé et l’ai été en retour, mais j’ai aussi été repoussé
J’ai été aimé et je n’ai pas su aimer

J’ai crié et sauté de tant de joies,
j’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles,
mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !

J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos
J’ai téléphoné juste pour entendre une voix,
je suis déjà tombé amoureux d’un sourire

J’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie,
J’ai eu peur de perdre quelqu’un de très spécial (que j’ai fini par perdre…
Mais j’ai survécu !

Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en passe pas…
Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !…

Ce qui est vraiment bon, c’est de se battre avec persuasion,
embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant,
parce que le monde appartient à celui qui ose

ET LA VIE C’EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai

un texte de Charlie Chaplin

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer.

Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Estime de soi

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’était rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions.

Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…

Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire … Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans , j’ai abandonné les Méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd’hui j’ai découvert… l’Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.

Et ça s’appelle… Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.

Tout ceci est… SAVOIR VIVRE!

 

Les 4 Accords toltèques

Les 4 Accords toltèques de Don Miguel Ruiz

  1. Que votre parole soit impeccable.
    Parlez avec discernement, ne dites que ce qui est, sans interpretation.
    N’utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire d’autrui.
  2. Quoiqu’il arrive n’en faites pas une affaire personnelle.
    Ce que les autres font ou disent ne dépend pas de vous, c’est une projection de leur propre réalité.
    Quand vous cessez de penser pour l’autre, vous vous libérez de souffrances inutiles.
  3. Ne faites pas de suppositions.
    Douter et vous supposerez au lieu de poser les vrais questions et d’exprimer vos vrais désirs.
    Avoir confiance pour communiquez clairement avec les autres et éviter les malentendus.
  4. Faites toujours de votre mieux.
    Votre “mieux” change d’instant en instant, la perfection étant une illusion limitante.
    Dans tous les cas, faites simplement de votre mieux, vous éviterez jugement, culpabilité et regret.

Accords toltèques : 4 règles pour être de Miguel Ruiz | article sur Psychologies.com

Miguel Ruiz – Les 4 accords tolteques (format PDF à télécharger)

C’est quoi la PNL ?

La programmation neuro-linguistique (PNL), inventée dans les années 1970 par John Grinder et Richard Bandler, est la modélisation des processus de communication.

Son application, partant de la connaissance de ces processus, permet d’améliorer la communication entre individus et de s’améliorer soi-même par des prises de conscience progressives.

Les grands principes

  • Programmation : regroupe tous les automatismes cognitifs, émotionnels ou comportementaux qui motivent nos actions et nos réactions.
  • Neuro : parce que nous communiquons plus encore par notre système corporel et nerveux, dans sa globalité, que par nos mots
  • Linguistique : les mots reflètent notre pensée profonde, nos us et coutumes, notre propre vérité selon nos références, différentes chez chacun de nous

Ces modèles mis en évidence sont une base dans le développement personnel par la prise de conscience qu’ils représentent.
Ils facilitent la connaissance de soi, des moteurs qui nous animent et des ressources dont nous disposons et que nous pouvons transférer dans d’autres domaines de notre vie.

Connaissant nos modes de fonctionnement, nous pouvons agir plutôt que réagir

Derrière un vocabulaire spécifique, la PNL nous offre une palette de concepts pour mieux comprendre chacun de nos automatismes, nos modes de fonctionnement.

Voir comment nous réagissons à telle ou telle situation nous apprend beaucoup sur nous, nous permet d’observer notre comportement et nous donne la possibilité d’agir en conscience au lieu de réagir sous le coup d’un programme automatique.
Pendant toute notre construction, nous avons accumulé nombre de programmes, d’automatismes, de concepts et de croyances qui nous définissent, qui génèrent nos émotions. Emotions qui peuvent nous impacter et nous faire nous sentir mal.

Les voir, les sentir et en prendre conscience nous permet une libération d’être pour ne plus les subir mais les utiliser à bon escient.
Aujourd’hui, connaissant comment nous fonctionnons, nous pouvons les modifier et nous autoriser d’autres modes de fonctionnement que nous choississons en conscience.

Nous avons la possibilité de choisir ce qui nous fait du bien et d’agir en connaissance et en conscience.

Les échanges sensitifs

Les échanges pulsionnels sont directement liés au système sensitif, ils découlent des besoins vitaux de survivre et de transmettre cette énergie de vie.

Les échanges non verbaux sont reçus par le corps, par l’ensemble des capteurs dont il dispose. Ces ressentis corporels activent la mémoire sensorielle et nous replongent dans des situations passées soumises aux mêmes ressentis. Nous ressentons les sensations d’alors car cette mémoire est intemporelle. Tout ce que nous vivons actuellement et ce que nous avons vécu dans des expériences analogues précédentes se mélangent, ici, maintenant.

Des situations traumatisantes peuvent laisser des traces fortes sur le corps quand l’énergie déployée n’a pas pu s’exprimer. Ce blocage, ces douleurs se réactivent quand des situations aux ressentis analogues se présentent. Le corps réveille ses vieilles blessures, ces douleurs d’antan que nous percevons, ressentons sans vraiment les comprendre. Elles s’activent et nous font ressentir leurs présences via nos sensations et les émotions qu’elles provoquent. Nous pouvons les sentir et voir ce qui se passe dans nos relations aux autres mais il nous est difficile de faire le lien entre ces différentes facettes, cela nous échappe, nous perturbe parfois.

Cette relation à l’autre est la base vitale de notre construction psychologique. Les échanges sensitifs représentent la première porte d’entrée de cet univers que nous recélons tandis que les échanges émotionnels représentent le flux d’énergie qui circule pour entretenir ce lien de vie, ce besoin relationnel.

C’est le schéma de répétition qui s’active face à cet acte inaccompli du passé, un schéma pour lequel nous voudrions trouver une issue positive.

Un besoin de conclure cet épisode douloureux du passé.

Les échanges interactifs

Pascal nous disait « le cœur a ses raisons que la raison ignore ».

Ceci nous indique déjà comment nos interactions relationnelles sont dissociées de la raison, du système cognitif bien que celui-ci soit présent. Il s’interroge pour comprendre ce qui se passe, ces émotions qui surviennent. Dans les relations d’intimité, d’amitié, le système interactif est mis en avant, nous partageons des ressentis, des émotions.

Nous diffusons une énergie et nous captons celle de l’autre aussi bien dans les échanges non verbaux qu’au travers des mots prononcés. Nous parlons pour ressentir, faire ressentir à l’autre c’est-à-dire pour partager nos émotions, nos désirs, nos ambitions, nos doutes et nos peurs.

Lorsque nous sommes impactés pas ces émotions, nous pouvons les laisser se déverser, les observer, les évacuer car nous entendons le corps qui parle, qui se livre, qui nous informe. Nous pouvons également les rejeter, les nier, les refouler et provoquer l’activation du système cognitif pour qu’il analyse et comprenne ce qui se passe. Il doit agir afin que cela cesse, il doit prendre le contrôle de la situation, le contrôle de nos émotions pour respecter nos croyances sur ce qui doit ou ne doit pas être.

Tant que nous n’acceptons pas les émotions comme un langage, une information et que nous les jugeons au travers de nos croyances, le système cognitif s’activera naturellement pour les contrer, les éviter ou les exacerber, les dramatiser. Contenir ou mettre en scène ses émotions est une protection du système cognitif pour se conformer aux messages contraignants qu’il a intégrés.

Quand le système cognitif ne réussit pas à contrôler ses émotions, le système sensitif va prendre le relais pour assumer le stress qui en découle. Il va, soit fuir pour les étouffer, soit réagir violemment pour les expulser ou bien encore, diminuer toute activité corporelle et cognitive pour les masquer et nier leurs existences.

Les échanges cognitifs

Ces échanges font appel à nos capacités cognitives, c’est-à-dire qu’ils vont activer notre réflexion pour comprendre ou expliquer, apprendre ou retenir, réfléchir ou imaginer, admettre ou contredire.

Il s’agit des échanges qui nécessitent une attention soutenue pour entendre l’information donnée afin de l’analyser, la retenir ou y répondre le cas échéant. Nous pouvons les retrouver dans les milieux professionnels, scolaires, dans les conférences, les débats. Ces échanges sont sous la forme d’interactions verbales, de paroles échangées ou reçues ou bien sous formes d’écrits, de livres, de magazines, de journaux, de rapports mais aussi des présentations multimédias qui mélangent ces différentes sources.

Bien que ces échanges aient vocations à s’adresser à notre système cognitif, une multitude d’informations circulent au travers des 93% d’échanges non verbaux. Cette masse d’informations induites va nous interpeller en dehors de la sphère cognitive. Nous pouvons très bien intellectualiser le discours mais également ressentir des signaux émotionnels qui vont nous faire réagir positivement ou négativement à ce que nous entendons. Nous pouvons accepter le fond du discours mais en même temps sentir une montée émotionnelle contrariante. A l’inverse, nous pouvons refuser la logique du discours mais ressentir que dans le fond, ce qui est dit fait écho en nous et répond à une demande que nous refusons d’admettre. Nous ressentons notre acceptation naturelle mais nous la refoulons parce que nos croyances nous l’imposent.

Nous ressentons donc des émotions alors que le discours était informatif mais le ton reçu, le contenu de l’information, le cadre dans lequel cela se produit et l’attitude du groupe autour de nous vont activer nos mémoires émotionnelles et viscérales.
Le système sensitif peut également nous faire réagir à ses informations. S’il y voit un danger qui peut menacer son intégrité, ses croyances. Partir d’une conférence sous un coup d’éclat parce que tel propos nous met dans une colère qu’il faut fuir ou prendre le risque de répliquer de manière virulente pour l’expulser. Nous assistons alors à des échanges vifs, passionnés, virulents.

Nous pouvons voir comment un même discours peut avoir un impact très différent selon le contexte dans lequel il est prononcé. Cela se joue au niveau de celui qui le prononce, sur sa manière de le dire, de l’ambiance qu’il dégage. C’est aussi par des messages non verbaux qu’il va diffuser selon qu’il se sent à l’aise avec ce qu’il énonce et que son discours est en phase avec ses intentions. Mais cela se joue également au niveau du receveur, sur son état d’esprit. Son attention et son discernement peuvent être contrariés ou influencés par les différents messages non verbaux. Cela éveille des émotions contradictoires entre ce qu’il entend et ce qu’il ressent. Dans ces moments là, nous pouvons avoir l’impression de ne pas être en lien, en accord avec celui qui prononce son discours. Nous pouvons aussi ressentir vibrer en nous, une acceptation viscérale de ce qui perçu au-delà des mots, « il joue sur la corde sensible ». Cette impression est émotionnelle, viscérale mais non cognitive.

Le charisme est donc l’art de faire passer un message au niveau cognitif et de l’appuyer par des messages non verbaux maîtrisés qui emportent l’adhésion émotionnelle et sensorielle de l’auditoire.

Quand notre attention est soutenue et que l’intention du discoureur reste accès sur le fond, le système cognitif reçoit l’information avec très peu de projections émotionnelles. Nous pouvons en conscience, admettre ou refuser ce qui est dit en restant au niveau cognitif. Ce sont des débats efficaces sur le fond mais dépourvus de sensibilité.

Nous voyons comment les échanges cognitifs sont rarement du seul ressort du système cognitif mais font également appel de manière indirecte, aux systèmes interactif et sensitif.